Cette femme m’a appris la bienveillance

La première fois que j’ai rencontré Sharon Salzberg, c’était à Paris en 2015. Je venais de lire « L’amour qui guérit » (ressorti récemment chez Pocket). La lecture de son ouvrage m’avait impressionnée. La compréhension que Sharon Salzberg a de la souffrance humaine, la manière dont elle nous prend par la main pour nous inviter à développer, très concrètement, amour et bienveillance est tout simplement remarquable. Avec elle, pas de grand discours, pas de prétentions intellectuelles mais un langage d’une grande simplicité et donc d’une grande force.

J’avais très envie de la rencontrer. J’ai donc profité de sa venue en France pour faire sa connaissance. Je voulais comprendre le travail unique et précurseur de cette femme.

Comme le raconte Fabrice Midal, à l’époque où elle a commencé à enseigner la bienveillance aux États-Unis, Sharon Salzberg essuyait un léger mépris de la part des autres enseignants de méditation : « Mais qu’est-ce que tu t’embêtes avec la bienveillance. Ce n’est pas sérieux ! Ce qui est sérieux c’est la vacuité ou l’impermanence mais pas ces trucs de bonne femme… »

Et pourtant, c’est elle qui avait raison.

En effet, aujourd’hui ce n’est pas la vacuité ou l’impermanence qui vont nous aider concrètement. Mais bien cette dimension d’accueil ouvert et honnête que nous apprennent les méditations de bienveillance.

Si vous voulez en savoir plus, je vous propose d’écouter en audio un article que j’avais rédigé sur cette femme au grand cœur. C’était suite à notre troisième rencontre en 2018.

Envie de décrocher de l’écran ? Ecoutez cet article en audio

Astuce :

Vous pouvez également faire un clic droit sur le lien ci-dessous, et enregistrer le fichier son pour une écoute ultérieure, même hors connexion…

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