Cultiver cette vertu sauvage qu’est la curiosité
Longtemps j’ai cru que la curiosité était un vilain défaut. Ce qui était particulièrement problématique puisque j’étais une enfant très curieuse. Tout m’intéressait.
Longtemps j’ai cru que la curiosité était un vilain défaut. Ce qui était particulièrement problématique puisque j’étais une enfant très curieuse. Tout m’intéressait.
Longtemps j’ai cru que seule la raison pourrait me sauver. J’ai toujours beaucoup rêvé et quand je me réveillais, j’analysais ces voyages nocturnes le plus rationnellement possible…
Longtemps je me suis crue lâche. Je pensais que ressentir la peur était le signe de mon manque de courage.
S’il n’y a bien une chose que m’a apprise la méditation c’est, face aux idées reçues et aux préjugés, de toujours poser la question « Mais est-ce bien vrai ? »
Je suis influencée par le temps qu’il fait, par les sons qui bruissent, par l’ambiance de la pièce. Comme poreuse à ce qui m’entoure. Je me découvre influençable.
Les métamorphoses humaines nous font éclore en une personne plus proche de notre vérité. De qui nous sommes « en vrai ». Sans falbalas ni armure.
Avez-vous souvent le sentiment diffus de passer à côté de votre existence ? Sachez que vous n’êtes pas la seule !
Cela fait des siècles que l’on pose fiévreusement la question « Esprit, es-tu là ? »… Et si on s’intéressait un peu au corps à présent ?
Dans mon essai « Affirmez-vous ! » j’explique comment mon époux et moi avons dû, dans les années 2000, inventé notre propre modèle
Écrire est une pratique méditative que l’on peut accomplir avec la même simplicité qu’une promenade dans la nature
Ce qui est frappant dans la série Drôles de dames, c’est que bien qu’elles soient loin d’être idiotes ou écervelées, elles se transforment en adolescentes hystériques lorsqu’il s’agit de Charlie.
Il y a une vingtaine d’années, un thérapeute m’a donné un drôle de conseil : N’hésitez pas à changer d’avis
D’où nous vient cette croyance que savoir est mieux que de douter ? De plus, nous pensons que celui qui
J’imagine que de bonnes fées ont dû se pencher sur mon berceau car aussi loin que je me souvienne, une
Les femmes dans le Bouddhisme, mythe ou réalité ? Quand j’entre dans un temple bouddhiste, je sens immédiatement la présence
Au-delà de la souffrance de devenir invisible, voici trois effets pervers liés au tabou de l’âge des femmes
Et si nous allions à la rencontre de ceux et celles que la société a soigneusement cloîtré·es dans des espaces d’invisibilité ? C’est ce que nous proposent trois films.
Pourquoi nous sentons-nous si souvent illégitimes ? Peut-être à cause de tout ce que nous avons appris et que nous n’interrogeons
Plus je médite, plus je découvre que la méditation est un puissant outil pour apprendre à s’affirmer. Un puissant outil au demeurant parfaitement… non violent…
Dès notre plus jeune âge, nous sommes formaté·es pour accepter, pour acquiescer, pour apprendre à dire oui. Une fois arrivé·es à l’âge adulte, nous pensons même que dire oui à l’autre, faire passer ses désirs avant les nôtres est une preuve de générosité. D’empathie. De bienveillance…
Je viens de terminer la lecture de FUTUR·ES de Lauren Bastide. Voici à mon avis l’ouvrage indispensable pour aborder 2023 avec : un nouveau regard, un esprit ouvert et un espoir renouvelés en l’humanité. Rien que ça ! Je vous explique pourquoi…
Aborder l’avancée en âge de manière sereine n’est pas seulement une question de confort, mais un enjeu social majeur. C’est pourquoi Marie de Hennezel tente de changer notre regard en présentant l’âge comme une aventure. L’aventure comprend des risques bien entendu, une part d’inconnu, mais aussi beaucoup d’heureuses surprises
Mardi soir je suis allée voir le nouveau film de Mia Hansen-Love. Alors qu’il évoque une histoire assez tragique, celle d’une jeune femme face à la maladie et au déclin inéluctable de son père, Un beau matin est porté par la grâce…
Lorsque je visite une exposition, un musée, une galerie, je l’aborde comme une séance de méditation. Et je me laisse surprendre. C’est ainsi que j’ai découvert Sally Gabori à la Fondation Cartier pour l’art contemporain…
Mon travail d’écriture pour l’essai « Éclore, enfin » m’a amenée à enquêter très précisément sur le monde dans lequel j’avais grandi. Ce monde dans lequel j’ai appris à travailler, à aimer, à élever mes enfants. Plus j’avançais dans cette enquête, plus je réalisais une croyance qui avait été fortement ancrée en moi durant mes 40 premières années…
Il y a une expression qui me fait mal au cœur à chaque fois que je l’entends. C’est cette invitation à « sortir de sa zone de confort ». Je la trouve horriblement culpabilisante. Comme si se sentir à l’aise signifiait qu’il faut tirer la sonnette d’alarme ! Et ce afin de ne surtout pas risquer de nous endormir sur nos lauriers…
Il y a quelques semaines j’ai lu un ouvrage phénoménal qui m’accompagne depuis. Alors j’ai décidé de rédiger une mini-série autour du corps, le corps des filles, le corps des femmes… En tant que femme et en tant qu’enseignante de méditation, le corps est le sujet qui ne cesse de m’interroger.
Dans mon livre Éclore, enfin, j’explore l’inégalité d’accès aux domaines artistiques qui frappe les femmes, encore aujourd’hui : théâtre, mise en scène, cinéma, production, tout est tenu par une majorité d’hommes. Comme si les femmes artistes n’existaient pas, ou en très petit nombre.
Depuis quelques mois je suis « active » sur instagram où je découvre une belle écoute et une vraie solidarité entre femmes. M’intéresser et suivre des comptes animés par des femmes m’a amenée à les contacter, à échanger sur nos travaux réciproques, parfois même à les rencontrer dans la « vraie vie ».
Nous pouvons avoir de la considération pour ces moments où, apparemment, rien ne se passe. Car ne serait-ce pas le monde qui, malgré toutes nos occupations, trouve un moyen de nous dire « Coucou, je suis là. Juste devant toi. Tu te rappelles ? »
Lundi dernier, j’étais l’invitée de Angélique d’Esclaibes, fondatrice du podcast Le Club Bonheur, dédié au bien-être, à la nutrition et à la santé. L’originalité d’Angélique est de concevoir chaque rencontre, non comme une interview, mais comme une véritable conversation. Il en résulte une atmosphère détendue et une parole libre que j’ai envie de partager avec vous aujourd’hui
Il y a quelques années, j’ai découvert le travail de Belinda Cannone et notamment son formidable essai qui thématisait avec intelligence un syndrome très partagé : le sentiment d’imposture. Cet ouvrage, publié en 2005, a aussitôt obtenu le Grand Prix de l’essai de la Société des gens de lettres.
Pendant l’écriture de mon livre* j’ai découvert le travail de Gisèle Vienne, une chorégraphe de la génération X, qui invente une approche particulière du mouvement. Mon premier contact avec son œuvre fût le film de Patric Chiha « Si c’était de l’amour ? ». Le réalisateur suit pendant plusieurs mois les répétitions et représentations du spectacle « Crowd ».
Ce livre a l’ambition de sortir ces femmes de l’angle mort dans lequel elles ont été plongées injustement. Je mets notamment à jour le système de la double-contrainte auquel nous avons dû faire face, aussi bien professionnellement que dans la vie privée.
Écrire un livre est à chaque fois une aventure. Pour mon dernier ouvrage j’ai dû plonger très loin dans mes souvenirs. J’ai dû examiner mon parcours de vie avec précision. Il y avait l’idée légèrement floue et pleine de préjugés que je me faisais de mon existence.
Quand je repense à mon enfance ou à mon adolescence, j’ai le souvenir d’un rapport corporel au monde. Une impression d’unité, d’harmonie sensorielle notamment avec la campagne foisonnante où j’habitais. Puis je suis entrée dans la vie adulte.
Puissante, merveilleuse, extrêmement vivante, la présence animale nous ramène à une réalité des plus tangibles, libérée des constructions mentales. Une réalité en prise directe avec la terre. L’animal ne perd jamais la terre écrit Danielle Moyse.
Sharon Salzberg nous prend par la main pour nous inviter à développer, très concrètement, amour et bienveillance. Sa manière de travailler est tout simplement remarquable. Avec elle, pas de grand discours, pas de prétentions intellectuelles mais un langage d’une grande simplicité et donc d’une grande force.
Ce qui m’a tellement étonnée quand j’ai découvert la méditation, ce n’est pas tant que ce soit agréable ou ressourçant. Ce qui m’a vraiment surprise, c’est de réaliser que quand je méditais j’avais plus de temps et plus d’espace…
Est-il possible d’être par deux fois profondément blessée dans sa chair et d’en sortir victorieuse ? Est-il possible d’être alitée, immobilisée et de produire une des œuvres picturales les plus originales du XXème siècle ? Est-il possible d’être malheureuse en amour et d’aimer, aimer, aimer ? Oui !
Bon anniversaire Frida Kahlo
Il n’y a pas d’extrait, car cette publication est protégée.
J’ai eu la chance d’enseigner un cours en visioconférence sur le thème de L’éducation bienveillante avec la psychologue et méditante
Et si nous cessions de remettre notre vie à plus tard ? À force de penser que nous avons tout le temps devons-nous, peut-être passons-nous à côté de l’essentiel…
Je connais Mathieu Brégégère depuis quelques années et apprécie énormément ses qualités d’enseignant de méditation. Généreux et enthousiaste, Mathieu donne
Vous est-il déjà arrivé de vous rappeler une chose gentille que vous a dite une amie, mais seulement quelques heures après ? Et soudain vous avez envie de la remercier mais c’est trop tard.
Le moine vietnamien Thich Nhat Hanh a mené un travail remarquable pour faire comprendre la compassion et le respect de
La lenteur et l’ennui peuvent-ils devenir sources de création ? Au fond rien de durable ne sort jamais de la précipitation. C’est ce que nous découvrons avec Françoise Héritier qui remet au goût du jour l’expression « se repêmer »…
Dans son excellente rubrique « Philo Déco », le magazine Elle Décoration interviewe le psychanalyste et ethologue Boris Cyrulnik. Nul doute que la crise du coronavirus va bouleverser nos modes de vie et nos intérieurs écrit en introduction la journaliste Danièle Gerkens…
Il n’est pas toujours simple de trouver la cohérence de sa propre vie… Pendant des années, j’ai fait le grand écart entre plusieurs aspects de mon quotidien, entre différentes activités, différentes passions. En 2017 a commencé à émerger un nouveau terme, celui de Slasheuse…
Le 8 mars 2019, journée de la femme, je fais la rencontre de la romancière britannique Maggie O’Farrel. Maggie O’Farrel fait preuve d’un sacré courage en publiant une autobiographie singulière. Dans I am Iam Iam, titre inspiré d’un écrit de Sylvia Plath, Maggie se raconte en construisant un récit autour de ses dix-sept rencontres avec la mort.
Je suis encore sous le charme de ma rencontre avec Tara Brach, hier soir. Elle donnait un atelier-conférence auquel j’ai assisté puis nous avons pu dîner ensemble, au premier étage d’un petit café parisien.
Nathacha Appanah nous offre un regard tolérant – mais sans naïveté aucune – sur le monde qui nous entoure. Elle aborde avec une délicatesse rare des thèmes de société pourtant ardus : le racisme, la parité, l’éducation, la discrimination sociale…
La première fois que j’ai rencontré Sharon Salzberg, c’était en 2015. Sharon était venue en France à l’occasion de la sortie de son livre L’amour qui guérit. Je l’ai interviewée quelques heures avant qu’elle ne donne une conférence publique, organisée par l’École occidentale de méditation.
En relisant Laterna Magica, l’autobiographie du grand réalisateur suédois Ingmar Bergman, j’y remarque une référence. Ingmar Bergman mentionne, au demeurant avec une certaine condescendance, un ouvrage écrit par l’actrice Liv Ullmann. Je me mets à la recherche de ce livre, le trouve d’occasion en format poche et en commence aussitôt la lecture…
La méditation nous prédispose à plus de gentillesse envers les autres. Cela ne se traduit pas seulement par des idées mais bien par des actes plus compatissants.
Mais encore plus intéressant, les tibétains utilisent le même mot pour désigner la compassion envers les autres et la compassion envers soi. Pour eux, traditionnellement, il n’y a pas de différence entre l’amour de soi et l’amour des autres…
À chaque fois que nous regardons le monde avec notre cœur, nous pouvons nous laisser étonner, et même émerveiller. Nous nous émerveillons parce que nous sommes merveilleux. C’est la merveille en nous qui est capable de voir la merveille du monde…
Samedi matin de septembre. Je suis en train de méditer. Un rayon de soleil entre dans la pièce suivi d’un
Il y a quelques semaines, j’ai rencontré une femme étonnante. Marie-Pierre Dillenseger a un parcours de vie atypique. La découverte
Le titre de doyen masculin La dépêche AFP vient de tomber : le doyen masculin de l’humanité a 112 ans,
Puisse cette nouvelle année vous offrir l’accomplissement des projets qui vous tiennent à cœur. Puisse-t-elle vous permettre de vous engager
C’est la proposition de Katja Pantzar que j’ai eu l’occasion d’interviewer l’été dernier autour de son livre Les Finlandais sont
La bienveillance ne doit pas devenir la nouvelle contrainte artificielle du manager parfait. Imposée à outrance, elle devient plus un outil de manipulation qu’autre chose.
L’année dernière, l’hebdomadaire La Vie m’a interviewée à l’occasion de la grande journée Méditation 2018 qu’ils organisaient à Lille avec
En octobre prochain, va paraître la nouvelle édition de mon ouvrage La méditation de la bienveillance, avec de nouveaux exercices
J’arrive à 7h du matin dans les immenses locaux de Altice Europe où sont installées les rédactions de RMC, BFM, BFM TV, L’Express, Libération… Le taxi était légèrement en retard, ça m’a stressée. Je suis censée passer à l’antenne à 7h10.
J’ai eu la chance de rencontrer Maggie O’Farrel le 8 mars dernier. Nous avons parlé de son dernier ouvrage, « I am Iam Iam », une autobiographie des plus atypiques : elle s’y raconte en construisant un récit autour de ses dix-sept rencontres avec la mort…
Se sentir en harmonie avec le monde quand tout va bien est une expérience que nous avons toutes connue. Se sentir plus vivante devant un magnifique coucher de soleil, être attendrie devant le sourire d’un nourrisson, ressentir une complète détente lors d’une jolie balade en forêt avec un ami… Dans ces moments-là, profiter de la vie nous semble une évidence. Mais quand les choses vont mal ?…
« Je suis celle qui vit ma vie… » Si elle est pleine de bon sens, cette phrase est néanmoins surprenante. Dans nos journées remplies de stress et de soucis, n’aurions-nous pas tendance à négliger cette vérité première ? Nous oublions trop souvent que c’est nous qui vivons notre vie. Nous pouvons nous plaindre, nous sentir victime, nous désintéresser par fatalisme…
Je viens de terminer la lecture d’un formidable livre : « Devenir » de l’actrice norvégienne Liv Ullmann. Paru en France en 1977 chez Stock, puis réédité au Livre de Poche, ce livre est une autobiographie passionnante. À cette époque, Liv Ullmann a déjà tourné avec les plus grands, elle a fait le tour du monde
Jack Kornfield transmet de nombreuses méditations laïques depuis 40 ans. Quand je lui ai demandé quelle était, pour lui, celle qui pouvait plus particulièrement nous aider aujourd’hui, il m’a parlé de la méditation du pardon
Aujourd’hui en Occident, et partout dans le monde, nous vivons selon la croyance qu’une vie normale doit être une vie qui nage dans le bonheur… Nous nous sommes laissés piéger par la tyrannie du bonheur. Si tu n’es pas heureux c’est que tu as raté ta vie !
Voici ce que Patti Smith livre à Annick Cojean qui la questionne au sujet de l’absence : « J’ai appris que lorsqu’on perd des êtres aimés, l’amour qu’on a partagé avec eux ne meurt pas. Votre mère peut mourir mais ça n’interrompt nullement son amour à votre égard. Il est là, il est en vous ! En écrivant mon livre, je sentais une chaleur qui envahissait mon cœur et j’ai compris que c’était l’amour de mon frère.
J’aime beaucoup cette anecdote que m’a racontée Sharon Salzberg lors de sa récente venue à Paris. Voir les cerisiers en
Parfois, parce que vous êtes heureux vous souriez. Mais parfois aussi, parce que vous souriez, vous êtes heureux. Thich Nhat
Il y a quelques mois j’ai rencontré le Docteur Pascal Douek, spécialiste de la longévité. Pascal Douek est Médecin et
Depuis toujours, plusieurs passions et plusieurs métiers m’animent. Et depuis toujours, je pensais qu’il fallait ne faire apparaître qu’un ou
Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages mais à avoir de nouveaux yeux. Marcel
Il y a les livres feel good et puis il y a Tal Ben-Shahar ! Je viens de terminer la
De l’air, de l’air ! Il arrive parfois qu’on ait l’impression de ne plus pouvoir respirer, de ne plus avoir
Au-delà des désaccords ordinaires Je prends beaucoup de plaisir à regarder des comédies romantiques anglaises ou américaines… Mais de là
Ce matin je me lève avec une certaine inquiétude. J’ai beau me dire que c’est une nouvelle journée qui commence,
Ma première rencontre avec Fabrice Midal s’est passée en 2004. Il m’a appris à méditer. Et j’ai découvert sa puissance
Je me souviens d’un temps où j’avais peur, très souvent, sans raison particulière. Quand ça n’allait pas, j’avais peur que
Juste avant Noël, j’ai lu un livre plutôt impertinent et franchement passionnant : La Voie de Michael Puett et Christine
Il y a quelques années, dans le journal, une citation m’a arrêtée. Une petite phrase, en légende d’un portrait de
Nous arrêter quelques instants, cesser l’agitation, cesser de sauter d’une activité à l’autre, d’une urgence à l’autre. Cesser de courir
Thich Nhat Hanh est probablement l’une des figures de la compassion les plus bouleversantes de notre temps. Quand je l’ai
Nous ne savons plus lever les yeux au ciel, nous vivons de manière horizontale. J’ai entendu cette phrase hier soir
Il n’y a qu’un seul monde, le monde qui se presse contre vous en cette minute même. Il n’y a
Si la méditation se réduisait à ne plus bouger, il y a longtemps que j’aurais arrêté ! Certes on cesse
La méditation est devenue un sujet incontournable dans les médias. Mais, alors qu’il y a encore quelques mois les articles
Il y a deux semaines, j’ai eu le plaisir de rencontrer Caroline Webb pour le magazine Sens & Santé. Le
L’expression « sortir de sa zone de confort » m’a toujours paru étrange. Le travail est-il réellement une zone de confort ? On
En cette période de rentrée, vos enfants ont besoin d’être entourés, rassurés, accompagnés. Car chaque nouvelle rentrée est une nouvelle
Je médite depuis bientôt quinze ans et j’ai eu l’occasion de rencontrer de grands maîtres et enseignants de méditation. Tous
Chaque jour, plusieurs articles paraissent dans la presse vantant les nombreux bienfaits de la méditation. Considérée il y a encore
Mon troisième livre Vive la méditation vient de sortir. Il explore les ressources de la méditation au quotidien. Et j’ai
Profiter de l’été pour dire à nos proches qu’on les aime, pour prendre soin de ceux qui nous entourent, pour
Mon grand voyage cet été, c’est de participer à la retraite de méditation organisée par l’École occidentale de méditation. Durant